750 grammes
Tous nos blogs cuisine Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 11:45

repas2avril2012

 

De gauche à droite, Jean-Philippe Poiret, chef de « La Table », Jean-Paul Simon et Jean-Pierre Cnude du Rotary Club de Belfort, Éric Vergne, chocolatier, Christian Pilloud, chef du « Mon Plaisir » à Chamesol et Philippe Zeiger, le chef du « Pot d’Étain ». Ensemble pour une soirée de solidarité. Photo et article Jean Becker

 

Pour la deuxième année consécutive, le Rotary Club de Belfort a mis sur pied lundi un repas gastronomique au profit de la petite enfance. Au fourneau, Christian Pilloud et Philippe Zeiger, deux chefs de renom, d’où cette soirée « la tête dans les étoiles ».

Le Rotary Club de Belfort présidé par Jean-Pierre Cnude a convié lundi soir (2 avril 2012) ses membres à un repas gastronomique à La Table, au Techn’hom, dont le patron Gérard Carafini mettait la salle de restaurant à leur disposition. Près de 180 convives avaient répondu présent pour ce repas hors du commun. En effet, le Rotary Club, comme en 2011, organisait cette manifestation au profit de la petite enfance.

Les bénéfices sont reversés pour une moitié au service de pédiatrie de l’hôpital de Belfort-Montbéliard, pour l’autre aux Restos du cœur pour leur permettre d’acquérir des couches et des produits d’hygiène pour les bébés. « La somme versée au service de pédiatrie doit permettre d’étoffer l’animation au sein du service par l’acquisition de jeux pour les jeunes enfants malades », précise Jean-Paul Simon, du Rotary Club de Belfort.

Et pour préparer ce repas, deux grands chefs étoilés de la région avaient fait le déplacement pour mijoter des plats à la hauteur de leur établissement respectif. Ainsi Philippe Zieger, chef du Pot d’Étain à Danjoutin, accompagné de sa brigade, dont José Mettler, son fidèle second, a concocté un émietté de tourteau sur une eau de tomate aux petits légumes. Quant à Christian Pilloud, du restaurant Mon Plaisir à Chamesol (Doubs), il a proposé à ses convives un dos de skrei (cabillaud du nord-est de l’océan arctique) à la sauce bourguignonne. Quant aux desserts, la préparation était confiée au maître chocolatier pâtissier Éric Vergne qui s’est appliqué à servir un « pavé Corbis aux agrumes ».

Le chef de La Table n’était pas en reste, car il avait en charge de préparer les amuse-bouches pour accompagner une coupe de champagne, comme des macarons au foie gras ou encore un tartare de saumon.

Cette soirée, dont les invités devaient s’acquitter de 40 euros, a permis de dégager un bénéfice de 4000 euros. « Nous pouvons faire de tels profits car les chefs viennent bénévolement. Alors finalement, nous n’avons que la marchandise à acheter. Une opération que nous avons déjà prévu de renouveler l’année prochaine », affirme le président du Rotary Club de Belfort.

 

Source : lepays.fr

Partager cet article
Repost0
27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 22:23

Il vous est possible de recevoir des infos du Pot d'Etain automatiquement en vous inscrivant à la Newsletter dans le menu de droite. Les options apparaitront dès le clic dans la zone de saisie.

 

newletter

Partager cet article
Repost0
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 18:29

Le Guide Michelin, véritable bible gastronomique française, la plus vendue dans le monde et terreur des grands cuisiniers, a dévoilé hier lundi son nouveau palmarès en France en couronnant le restaurant Flocons de sel du chef Emmanuel Renaud, installé à Megève. Ce dernier rejoint ainsi le club très exclusif des tables comptant trois étoiles au petit livre rouge de la gastronomie.

 

En Franche-Comté, alors que les inspecteurs sont passés dans la région au mois d’octobre, la situation est restée stable, et c’est un ouf de soulagement pour tous les cuisiniers étoilés concernés, qui vivent tous avec une épée de Damoclès au-dessus de leur cuisine, avec le stress de perdre ce symbole qui récompense leur savoir-faire. Alors sur fond de crise, on assiste à un retour en force de la fraîcheur dans les assiettes et des produits du terroir, « ce que recherchent particulièrement les fins gourmets. De bons produits authentiques de la région », affirme Philippe Zeiger, le chef du Pot d’Étain à Danjoutin. Ils étaient treize en 2011, et se retrouvent à treize en 2012. « C’est bon pour la région même si cela ne suffit pas à faire de la Franche-Comté une région gastronomique comme l’Alsace ou la région lyonnaise. Mais il ne fait pas se plaindre après une véritable traversée du désert il y a cinq ou six ans », souligne pour sa part Olivier Prévot, du Saint-Martin à Montbéliard. Ce dernier propose en ce moment cet excellent poisson de lac en attendant le printemps et ses petits légumes. Il ajoute : « C’est vrai que l’on tremble toujours la veille à l’idée de gagner ou de perdre cette distinction qui représente la consécration. » Aujourd’hui, on respire. Le Jura est toujours bien représenté, avec cinq restaurants étoilés, dont Jean-Paul Jeunet qui conserve ses deux étoiles à Arbois. Jean-Michel Turin, du Château de Vauchoux en Haute-Saône, plus vieux étoilé de Franche-Comté, conserve son étoile, toujours fidèle à une cuisine d’exception et à des valeurs sûres comme la volaille de Bresse, les morilles ou les truffes qu’il va chercher jusqu’au marché de Lalbenque dans le Lot, le plus important du Sud-Ouest.

 

Dans l’Aire urbaine, le Pot d’Étain à Danjoutin (90), La Tour Penchée à Sévenans (90) récompensée en 2011, le Saint-Martin à Montbéliard et Mon plaisir à Chamesol (25) gardent leur étoile. D’ailleurs Christian Pilloud, de Chamesol, est content de toujours faire partie de l’élite gastronomique de la région : « Cela veut dire que notre travail accompli était de qualité. » Ce chef dont les asperges et le skrei, « un jeune cabillaud norvégien », sont aux menus de cette semaine. On peut s’apercevoir que la multiplication des tendances culinaires, le souci du produit, l’exigence dans le travail de l’assiette, les décors rénovés et métamorphosés (comme à la Tour Penchée ou chez Jacques Barnacho à Bonnétage dans le Doubs) permet à tous ces chefs de se maintenir et de rencontrer un vrai succès. C’est bien un seul et même élan vers la qualité qui irrigue toute la gastronomie franc-comtoise, un élan qui profite aussi bien aux grandes tables qu’aux petits bistrots.

 

Comme l’année dernière, les inspecteurs du Michelin ont décerné des bips gourmands. C’est ainsi que Julie et Samuel Richardet, du Grapiot à Pupillin, ont obtenu cette distinction qui récompense plusieurs années de travail. Pour obtenir un bip gourmand, outre la bonne cuisine à partir de produits frais et régionaux, il faut servir un menu à 29 euros et garantir aux clients une cuisine régionale. Julie, hier après-midi, avait déjà la tête dans les… étoiles : « Je suis vraiment heureuse, c’est une véritable récompense pour notre cuisine inventive et cela donne un avis aux clients, sachant qu’un « bip gourmand » garantit le meilleur rapport qualité/prix. Cela va nous encourager à faire encore mieux pour le plus grand plaisir de nos clients. »

 

Le Guide Michelin sera disponible en librairie à partir de jeudi 1 er mars au prix de 22,80 euros (1924 pages). Quant au Bib Gourmand, les bonnes petites tables avec 630 adresses, il est affiché au prix de 17 euros.

 

Deux étoiles : Jean-Paul Jeunet (Arbois).

 

Une étoile :Le Pot d’Étain (Danjoutin) ; Auberge de la Tour Penchée (Sevenans) ; L’Étang du Moulin (Bonnétage) ; Mon Plaisir (Chamesol) ; La Chaumière (Dole) ; Château du Mont Joly (Dole/Sampans) ; Le Bon Accueil (Malbuisson) ; Le Saint-Martin (Montbéliard) ; Auberge de la Roche (Morteau) ; Château de Germigney (Port-Lesney) ; Château de Vauchoux (Vauchoux) ; Le France (Villers-le-Lac).

 

Bips gourmands :Le Grapiot (Arbois/Pupillin) ; Philippe Bouvard (Balanod) ; La Poutre (Bonlieu) ; Le Balcon (Combeaufontaine) ; Les Jardins Fleuries (Dole/Parcey) ; La Couronne (Jougne) ; L’Épicurien (Lons-le-Saunier/Courlaoux) ; Auberge du Coude (Malbuisson/Les Granges-Sainte-Marie) ; Mirabilis (Mirebel) ; Le Courbet (Ornans) ; La Griotte (Ornans/Saules) ; Bistrot Pontarlier (Port-Lesney) ; Relais de Franche-Comté (Valdahon).

 

Source : www.lepays.fr

Partager cet article
Repost0
26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 11:30

Le restaurant sera fermé du 26 février au soir au 5 mars inclus.

Nous serons ravis de vous accueillir de nouveau dès le 6 mars.

Partager cet article
Repost0
23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 09:01

Une brochette de chefs

Une brochette de chefs étoilés (de gauche à droite) : Jean-Marc Kièny, Ludovic Maire, Jean-Paul Boesten, José Metller (second du «Pot d’Étain»),  Philippe Zeiger, Yanis (l’apprenti),  et Joël Césari. Photo Jean Becker

 

Chacun décline la semaine du goût comme il l’entend. Au « Pot d’Étain » de Danjoutin, jeudi soir, c’était le combat des chefs. Un menu concocté par quatre chefs étoilés et un pâtissier hors pair.


Ils étaient quatre, dont Jean-Paul Boesten, meilleur ouvrier de France et chef à l’Auberge de l’Ill à Illhaeusern (Haut-Rhin), trois étoiles au guide Michelin.

Alors, quelle émotion, jeudi soir, pour les soixante-cinq privilégiés qui ont pu déguster ce repas, pour lequel chaque chef a redoublé d’imagination pour éveiller les papilles des convives.

Pour un exercice de style, le résultat était réussi pour ce troisième repas des chefs organisé par le maître du « Pot d’Étain » de Danjoutin, Philippe Zeiger. Chacun, au fil des plats, a pu transmettre l’amour des bons produits dans un festival de saveurs.

 

Tout a débuté par un amuse-bouche, un carpaccio de saint-jacques sur un coulis de céleri. Arrivait ensuite la première entrée préparée par Jean-Marc Kieny, de l’Hôtel de la Poste à Riedisheim, dans le Haut-Rhin (une étoile) : un nougat de foie gras, petit macaron farci d’une soubise d’oignons au miel. Le tout réhaussé par un verre de macvin du Jura du caveau des Buyards. À ce titre, il est toujours aussi étonnant de penser qu’un vignoble aussi petit que le Jura puisse susciter tant de passion dans le monde entier, avec ses célèbres vins jaunes.

 

Puis le maître des lieux, poissonnier dans l’âme, a réalisé un bonbon de calamars et coquillages, bouillon corsé, avec un zeste de citron du Mas Bachés, accompagné d’un sancerre « Bois Perdu » 2007, vendangé à la main de chez Pascal Thomas. Avec un petit pain noirci à l’encre de seiche en forme de calamar. Une entrée en matière de classe avec un plat de prestige idéalement préparé. Bravo à Philippe Zeiger.

 

Le roi de la cuisine moléculaire, Joël Césari, du restaurant « La Chaumière » (une étoile) à Dole, s’est plié aux règles de la soirée, pour dresser un plat plus classique : un brochet de Cervotte en croûte de tomme et noisette fraîche a régalé les palais de tous les invités. Servi avec un pernand-vergelesses 2008 développant des arômes d’épices en fin de bouche.

 

Puis arrive un plat de rêve mariant les saveurs de nos meilleurs produits du terroir : une poitrine de pigeon au chou, foie gras fourré à la truffe. Un mélange de sensations inégalées. Sans parler d’un nuit saint-georges premier cru du domaine Faivelet. Fin et élégant en attaque, ce vin s’amplifie avec une belle richesse et une rondeur remarquables.

 

Ce repas gargantuesque, digne du maître Rabelais, s’est terminé par un hymne sucré aux premières pommes granny, dans une boule de cristal soufflée par Ludovic Maire, pâtissier belfortain. Toutes nos félicitations à Florence, épouse du chef du « Pot d’Étain » qui, avec son staff, a assuré le service en salle. Une soirée dont tout le monde se rappellera comme le reflet d’un certain art de vivre à la Française.

 

(source Le pays) par Jean Becker

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 11:00

Découvrir le site, le blog, le twitter du restaurant grace à ce QR Code (A scanner avec votre smartphone ou cliquez directement sur l'image pour être redigiré vers la page des sites du pot d'étain ).

 

lepotdetain.free.fr.jpg

 

 


Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le Pot d'Etain Danjoutin
  • : Philippe Zeiger, nouveau propriétaire du Restaurant le Pot d’Etain et sa compagne Florence vous ouvrent les portes de leur restaurant gastronomique à Danjoutin, Territoire de Belfort, à deux pas du célèbre Lion de Bartholdi. Ils vous proposent de découvrir un menu du marché à 30 euros, vin, eau et café compris ainsi que les délices d’une cuisine créative et spontanée, élaborée avec des produits frais, de saison, dans un cadre convivial et chaleureux. Parking privé.
  • Contact

Le Pot d'Etain Danjoutin

  • 4, avenue de la Rébublique
    90400 DANJOUTIN
  • Pour réserver, contactez-nous au
    03 84 28 31 95 ou par MAIL
  • Tous les jours sauf LUNDI, SAMEDI MIDI et DIMANCHE SOIR
  • Le site du restaurant