750 grammes
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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:42

Le champagneLe champagne, également appelé vin de Champagne, est un vin effervescent français protégé par une appellation d'origine contrôlée dont la réglementation a nécessité plusieurs siècles de gestation. Son nom vient de la Champagne, une région du nord-est de la France. La délimitation géographique, les cépages, les rendements et l'ensemble de l'élaboration du champagne sont les principales spécificités de l'appellation.

 

 

 

Géographie

Le champagne est produit dans la zone viticole délimitée par la loi du 22 juillet 1927.

 

 

Les zones


Il existe quatre zones de production de raisins qui regroupent les 17 terroirs de champagne.

La montagne de Reims (département de la Marne) : majoritairement exposés au sud, les coteaux sont implantés sur des sols dont la craie est profondément enfouie. Le cépage dominant y est le pinot noir. Dans les caves de la montagne de Reims reposent des champagnes réputés pour leur puissance, leur charpente et leur noblesse.

La vallée de la Marne (Marne, Aisne et Seine-et-Marne) : les coteaux sont implantés sur des sols à dominante argilo-calcaire, à tendance marneuse. Le cépage dominant y est le pinot meunier. Les champagnes de la vallée de la Marne, grâce à leur grande diversité, possèdent un séduisant bouquet, du fruité et une grande souplesse.

La côte des blancs (Marne) : ici, un cépage unique règne en maître : le chardonnay. La craie affleurante y est partout, véritable réservoir d'eau et de chaleur des sous-sols. La Côte des blancs donne naissance à des champagnes prisés, empreints de vivacité et d'esprit, aux arômes légers et délicats, symboles de finesse et d'élégance.

Le vignoble de l'Aube, sur la côte des Bars (Bar-sur-Aube et Bar-sur-Seine dans l'Aube) : les sous-sols à tendance marneuse y sont principalement plantés de pinot noir. Les champagnes de la Côte des Bars sont des vins de caractère, à la belle rondeur et aux arômes complexes.

Sur un peu plus de trente mille hectares de vigne au total, c'est le vignoble le plus septentrional de France avec 60 à 80 jours de gel par an. Il doit sa richesse à son morcellement, chaque village constituant un cru, c'est-à-dire le produit d'un terroir et d'un climat ; il existe 302 crus. Les plus grandes caves de champagne se trouvent à Épernay et à Reims.

Quelques parcelles de l'appellation champagne (20 ha) se trouvent en Île-de-France dans les communes de Citry, Nanteuil-sur-Marne et Saâcy-sur-Marne (Seine-et-Marne).


Historique de la zone d'appellation

Juste avant le début de la Révolution française, le vignoble champenois s'étendait sur quelque 50 000 hectares. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le vignoble connaît avec 65 000 hectares son expansion maximale comprenant aussi 2 500 hectares dans le département des Ardennes. Après les fléau du phylloxéra et de la Première Guerre mondiale, le vignoble s'est réduit à 12 000 hectares.

Au début du XXIe siècle, la surface plantée du vignoble champenois est en augmentation : 32 341 hectares en 2007 ; 33 105 hectares en 2009.


La procédure d'extension

Depuis 2003, une procédure visant à l'extension de la délimitation de l'appellation a été lancée, cette nouvelle aire devrait être établie en 10 ans9.

Cette procédure, dont le but est d'intégrer dans l'aire de production du vin de champagne quelques parcelles dûment certifiées d'une quarantaine de nouveaux villages, fait appel aux expertises des historiens pour rechercher des pratiques viticoles anciennes et à celles des géologues pour rechercher les parcelles concernées soit par les marnes du Kimméridgien, les craies blanches du Campanien ou les sédiments du Paléocène, toutes terres qui doivent fonder le sous-sol des terres champenoises dignes de porter la vigne.

La désignation des parcelles devrait se faire à partir de 2009 avec le décret du Conseil d'État entérinant la nouvelle géographie des parcelles supplémentaires. La profession espère ainsi créer 2 à 3 000 nouveaux hectares en vignobles champenois. À 800 000 euros l'hectare, ce chantier devrait ouvrir une période de recours et de chicanes judiciaires — certaines parcelles se sont vendues dernièrement à près de 1,1 million d'euros. De ce fait, ni les habitants, ni les autorités locales n'auront connaissance des localisations des parcelles ni de leur étendue, avant la validation par l'INAO. Selon le CIVC (Comité interprofessionnelle des vins de Champagne) : « Transformer des hectares de blé en hectares de vigne, c'est multiplier par 350 la valeur d'une parcelle cultivable ». Dans les villages, il se murmure qu'à ces prix-là, si le cimetière est installé sur une parcelle intéressante, il ne faut pas hésiter à le déplacer.

Parmi les villages potentiels, se trouvent Courcy, Courdemanges, Fismes, Montmirail dans le département de la Marne, Bouilly, Fontvannes, Javernant, Montgueux dans le département de l'Aube, Marchais-en-Brie dans le département de l'Aisne et Champcourt, Harricourt dans le département de la Haute-Marne. Les premières vignes des nouvelles parcelles devraient être plantées vers 2015, pour une première petite récolte deux ans après. De plus, certains villages déjà sous appellation, pourraient voir leurs surfaces s'agrandir.

 

(source wikipedia)

 

 

Lien vers la 1ère partie

Lien vers la 2ème partie

Lien vers la 3ème partie

Lien vers la 4ème partie

Lien vers la 5ème partie

Lien vers la 6ème partie

 


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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 12:50

 


Alors que beaucoup pensaient que la France allait exploser face à la Nouvelle-Zélande, le XV de France a répondu présent lors de cette Finale très tendue qui aurait pu basculer à n'importe quelle moment. 80 minutes serrées qui resteront dans les mémoires.

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 09:01

Une brochette de chefs

Une brochette de chefs étoilés (de gauche à droite) : Jean-Marc Kièny, Ludovic Maire, Jean-Paul Boesten, José Metller (second du «Pot d’Étain»),  Philippe Zeiger, Yanis (l’apprenti),  et Joël Césari. Photo Jean Becker

 

Chacun décline la semaine du goût comme il l’entend. Au « Pot d’Étain » de Danjoutin, jeudi soir, c’était le combat des chefs. Un menu concocté par quatre chefs étoilés et un pâtissier hors pair.


Ils étaient quatre, dont Jean-Paul Boesten, meilleur ouvrier de France et chef à l’Auberge de l’Ill à Illhaeusern (Haut-Rhin), trois étoiles au guide Michelin.

Alors, quelle émotion, jeudi soir, pour les soixante-cinq privilégiés qui ont pu déguster ce repas, pour lequel chaque chef a redoublé d’imagination pour éveiller les papilles des convives.

Pour un exercice de style, le résultat était réussi pour ce troisième repas des chefs organisé par le maître du « Pot d’Étain » de Danjoutin, Philippe Zeiger. Chacun, au fil des plats, a pu transmettre l’amour des bons produits dans un festival de saveurs.

 

Tout a débuté par un amuse-bouche, un carpaccio de saint-jacques sur un coulis de céleri. Arrivait ensuite la première entrée préparée par Jean-Marc Kieny, de l’Hôtel de la Poste à Riedisheim, dans le Haut-Rhin (une étoile) : un nougat de foie gras, petit macaron farci d’une soubise d’oignons au miel. Le tout réhaussé par un verre de macvin du Jura du caveau des Buyards. À ce titre, il est toujours aussi étonnant de penser qu’un vignoble aussi petit que le Jura puisse susciter tant de passion dans le monde entier, avec ses célèbres vins jaunes.

 

Puis le maître des lieux, poissonnier dans l’âme, a réalisé un bonbon de calamars et coquillages, bouillon corsé, avec un zeste de citron du Mas Bachés, accompagné d’un sancerre « Bois Perdu » 2007, vendangé à la main de chez Pascal Thomas. Avec un petit pain noirci à l’encre de seiche en forme de calamar. Une entrée en matière de classe avec un plat de prestige idéalement préparé. Bravo à Philippe Zeiger.

 

Le roi de la cuisine moléculaire, Joël Césari, du restaurant « La Chaumière » (une étoile) à Dole, s’est plié aux règles de la soirée, pour dresser un plat plus classique : un brochet de Cervotte en croûte de tomme et noisette fraîche a régalé les palais de tous les invités. Servi avec un pernand-vergelesses 2008 développant des arômes d’épices en fin de bouche.

 

Puis arrive un plat de rêve mariant les saveurs de nos meilleurs produits du terroir : une poitrine de pigeon au chou, foie gras fourré à la truffe. Un mélange de sensations inégalées. Sans parler d’un nuit saint-georges premier cru du domaine Faivelet. Fin et élégant en attaque, ce vin s’amplifie avec une belle richesse et une rondeur remarquables.

 

Ce repas gargantuesque, digne du maître Rabelais, s’est terminé par un hymne sucré aux premières pommes granny, dans une boule de cristal soufflée par Ludovic Maire, pâtissier belfortain. Toutes nos félicitations à Florence, épouse du chef du « Pot d’Étain » qui, avec son staff, a assuré le service en salle. Une soirée dont tout le monde se rappellera comme le reflet d’un certain art de vivre à la Française.

 

(source Le pays) par Jean Becker

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 07:24

ChampagneLe champagne, également appelé vin de Champagne, est un vin effervescent français protégé par une appellation d'origine contrôlée dont la réglementation a nécessité plusieurs siècles de gestation. Son nom vient de la Champagne, une région du nord-est de la France. La délimitation géographique, les cépages, les rendements et l'ensemble de l'élaboration du champagne sont les principales spécificités de l'appellation.

 

 

 

Histoire

 

Dès le Moyen Âge, cette province a commencé par produire des vins tranquilles, non effervescents. Des vins clairs appelés aussi « nature », dont la renommée commence à dépasser leur région d'origine au XVIe siècle, par l'entremise d'un ambassadeur de renom, le roi Henri IV, puis au XVIIe siècle, grâce aux talents de dom Pérignon (1638-1715), un moine cellérier de l'abbaye bénédictine d’Hautvillers, notamment avec l'assemblage de différents crus et le contrôle de la prise de mousse lors de la deuxième fermentation. Le succès de l'appellation est ensuite allé croissant, dépassant les 338,7 millions de bouteilles expédiées en 2007 dans le monde entier6, un record qui tient depuis.

Le champagne est élaboré essentiellement à partir de trois cépages : le pinot noir N, le pinot meunier N et le chardonnay B. Le vignoble de Champagne produit surtout des vins blancs mousseux, avec un large éventail de cuvées (spéciales ou non), de millésimes et de flaconnages variés.

Le champagne est une boisson devenue synonyme de fête ou de célébration. Il bénéficie d'un prestige reconnu dans le monde entier, notamment grâce à la protection et à la défense très actives de l'appellation.

 


Antiquité

La culture de la vigne en Champagne remonte à l'époque gallo-romaine, quand les Romains plantent les premiers ceps dans la région.

 

 

Moyen Âge

Par la suite, le vignoble est conservé grâce à l'intérêt que lui porte le clergé, en particulier ceux de Reims et de Châlons-en-Champagne. Après le monastère d'Hautvillers, vers 660, c'est l'abbaye de Saint-Pierre-aux-Monts, à Châlons-en-Champagne, qui plante de nombreuses vignes dans les domaines qu'elle possédait en Champagne.

En l'an 1114, l'évêque de Châlons, Guillaume de Champeaux, fait rédiger la grande charte champenoise qui confirme cette abbaye dans toutes ses possessions agricoles et vinicoles. Cette charte, dont l'original est perdu mais dont une copie est conservée aux Archives départementales de la Marne, est considérée comme l'acte fondateur du vignoble de Champagne : par cette confirmation, toutes les conditions sont réunies pour que le vignoble se développe en paix et puisse prospérer. Dès lors, les moines n'ont pas cessé de cultiver la vigne et de produire un vin de plus en plus élaboré.

Durant l'époque féodale, les vins de Champagne sont classés parmi les « vins de France » considérés comme produits dans le bassin parisien (le Midi n'étant pas encore français).


Période moderne

Durant le règne d'Henri IV, il acquiert le nom de « vin de Champagne » à Paris, mais cette dénomination s'impose plus difficilement dans la région, le terme champagne désignant des terres non fertiles, ne pouvant servir que de pâturages aux moutons. Pierre Gosset, élu maire d'Aÿ en 1584, était à la fois propriétaire-vigneron et négociant en vins de champagne (non effervescents), ce qu'on appelle actuellement un récoltant-manipulant.

Au cours du XVIIe siècle, ces vins séduisent de plus en plus d'amateurs dans les cours royales de France et d'Angleterre, sous l'impulsion de certaines familles parisiennes qui possèdent des terres en Champagne. Ce siècle marque aussi une évolution, correspondant au désir des consommateurs, vers des vins gris, très faiblement colorés mais qui, selon les vignerons, vieillissent très mal en fûts.

Le champagne est donc rapidement mis en bouteille (vers 1660) afin d'assurer une meilleure conservation des arômes (avec un tirage avant la fin de la première fermentation), mais il devient, en contrepartie, naturellement pétillant (surtout pour les champagnes ayant peu d’alcool, étant peu colorés et dont le tirage est fait à l'équinoxe de printemps). Ce caractère effervescent cause beaucoup de soucis aux vignerons, à tel point qu’il est surnommé « vin du diable » ou « saute-bouchon » à cause des bouteilles qui explosent ou des bouchons qui sautent sous la pression. Pour ces raisons, si les Anglais n’avaient pas été conquis par ce vin pétillant, le champagne ne serait peut-être pas ce qu'il est aujourd’hui car, à cette époque, les Anglais achetaient aux Champenois des tonneaux de vin en vrac, qu'ils se chargeaient de mettre eux-mêmes en bouteilles. Ils avaient aussi observé que la meilleure époque pour provoquer la prise de mousse était le printemps. En 1676, un poète londonien chantait « le champagne effervescent qui ranime rapidement les pauvres amants languissants. »

En 1670, dom Pérignon (1638-1715), un moine cellérier de l'abbaye bénédictine d’Hautvillers, est le premier à pratiquer l'assemblage de raisins de différents crus, qui améliore la qualité du vin et en fait disparaître certains défauts. De plus, à l'occasion d'un pèlerinage à l'abbaye bénédictine de Saint-Hilaire en Languedoc, il découvre la méthode de vinification des vins effervescents de Limoux, qui existe depuis plus d'un siècle. Revenu dans son abbaye d'Hautvillers, Dom Pérignon expérimente la méthode sur les vins du vignoble champenois. C'est également lui qui introduit l'emploi du bouchon de liège, maintenu sur la bouteille par une ficelle de chanvre imprégnée d'huile, ce qui permet au vin de garder sa fraîcheur et sa mousse. De plus, il fait renforcer la bouteille en adoptant un verre plus épais, pour éviter qu'elle n'explose. Malgré les efforts du moine, l'effervescence du vin reste empirique jusqu'aux recherches de Louis Pasteur sur la fermentation, au XIXe siècle. Les crayères près de son abbaye étaient utilisées pour conserver le champagne à température et humidité constantes. Par la suite, d'autres caves furent creusées en pleine craie.

Selon le chanoine Jean Godinot qui écrivit en 1718 que « depuis plus de vingt ans le goût des Français s'est déterminé au vin mousseux », le champagne effervescent aurait donc été commercialisé dans des bouteilles spécifiques, pour la première fois en France, vers 1695. D'autres archives attestent que, en l'an 1729, Nicolas Irénée Ruinart fonde à Reims le premier négoce en vin de Champagne effervescent, la maison Ruinart.

Durant le XVIIIe siècle, le champagne commence à acquérir son rayonnement international, grâce aux propriétaires de célèbres maisons de champagne qui en assurent la promotion comme Florens-Louis Heidsieck ou Claude Moët puis, au XIXe siècle, grâce à Pierre-Nicolas-Marie Perrier-Jouët et à la famille Bollinger. De même, certaines femmes, après la mort de leur mari, continuent le travail de celui-ci, entre autres Mme Pommery, Mme Perrier et Mme Clicquot (surnommée la « Grande Dame de Champagne »), contribuant elles aussi à la notoriété du champagne. Le champagne fut même décrit comme étant le « vin de la civilisation » par Talleyrand, et comme le symbole de l'amitié par Honoré de Balzac7.

 

 

Période contemporaine

Avant qu'on apprenne à champagniser les vins blancs, ceux-ci étaient parfois (certaines années) naturellement pétillants. On retrouve une production de vins pétillants naturels aux quatre coins de l'ancienne Champagne, aussi bien dans l'Aube (du côté de Bar-sur-Aube) qu'en Haute-Marne, où le vin de Soyers (région de Bourbonne-les-Bains), vin de cépage produit à partir du meslier doré, avait une typicité reconnue, avant l'invasion du phylloxéra en Europe et dans le monde.
En 1860, le savant champenois Jules Salleron invente les premiers bouchons en aggloméré puis, en 1882, le densimètre pour mesurer le degré alcoolique du vin, afin d’éviter les excès de sucre ou de levure dans le processus de la seconde fermentation. En 1928, l'appellation champagne concernait seulement huit mille hectares et les expéditions se montaient à vingt-quatre millions de bouteilles.

 

(source wikipedia)

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Lien vers la 6ème partie

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 12:39

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 20:40

Pour la coupe du monde de rugby, le Pot d'Etain vous propose un menu adapté faisant référence à tous les continents.

 

 

menu rugby 2011

 

 

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 10:00

Le basilic

Le basilic est une plante de la famille des Lamiacées  (labiacées, labiées), tribu des Ocimeae, cultivée comme plante aromatique et condimentaire. Le plus connu est le basilic commun, également appelé basilic romain, herbe royale ou pistou. Le basilic commun est largement employé dans la cuisine italienne, d'autres variétés de basilic sont répandues dans certaines cuisines asiatiques : Taiwan, Thaïlande, Vietnam, Cambodge  et Laos.

 

 

Un plant mesure de 20 à 60 cm de haut, possède des feuilles ovales-lancéolées, atteignant 2 à 3 cm. Les feuilles sont vert pâle à vert foncé, parfois pourpre violet chez certaines variétés.

Les tiges dressées, ramifiées, ont une section carrée comme beaucoup de labiées. Elles ont tendance à devenir ligneuses et touffues.

Les fleurs, bilabiées, petites et blanches, ont la lèvre supérieure découpée en quatre lobes. Elles sont de petite taille et groupées en longs épis tubulaires, en forme de grappes allongées.

Les graines fines, oblongues, sont noires.

 

Recette par Philippe Zeiger

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 09:51

INGREDIENTS (Pour 4 personnes)

 

Parfait basilic

95 gr de sucre                 
75 gr de glucose
168 gr de jaunes d’œufs
530 gr de crème

Mousse chocolat pour foret noire a ma façon

350 gr de chocolat noire
75 gr d’eau
75 gr de sucre
100 gr de jaunes
600 gr de crème fouettée

 


 

PREPARATION

Pour le parfait basilic :

 

- Cuire le sucre et le glucose à 121 degrés petit boulé
- Mettre a infuser 50 gr de basilic avec 620 gr de crème 24 heures avant
- Peser 530 gr de crème pour la fouetter  puis réaliser un appareil à bombe
- Cercler ou mouler et mettre au cogélateur

 
Pour la Mousse chocolat pour foret noire a ma façon :
 
- Faire juste bouillir l’eau et le sucre puis verser sur les jaunes et les fouetter au batteur jusqu'à refroidissement de l’appareil
- Ajouter  la moitié de la crème fouettée au chocolat fondu, ensuite ajouter le sabayon et le reste de la crème fouettée

 



DRESSAGE ET FINITION
 
 

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 09:22

 

INGREDIENTS (Pour 4 personnes)

 

- 220 gr de foies de volailles

- 80 gr de beurre fondu

- 1 oeuf

- 3 jaunes d’œuf

- 250 gr de lait

- 1 gousse d’ail

- 20 pièces d’écrevisses moyennes

- 1 carotte

- 1 vert de poireau

- 1 vert de poireau

- 1 échalote

- 1 tomate

- Cognac

- thym, laurier

- roux blanc

- 1 cuillère à soupe de concentré de tomate

- Huile d’arachide, sel, poivre

 

 


 

PREPARATION


- Peler la gousse d’ail puis la déposer dans le bol du mixer

- Ajouter les jaunes et l’œuf, puis mixer 1 minute.

- Mettre ensuite le beurre fondu et froid

- Ajouter les foies de volailles et remixer 30 secondes

- Verser le lait et assaisonner, puis mixer à nouveau pour obtenir un mélange homogène

- Beurrer 4 moules ou mettre du film si vous les cuisez à la vapeur

- Verser dans ceux-ci l’appareil obtenu

- Cuire pendant 25 minutes dans un four à 150°c ou 15 minutes à 100° au four vapeur

- Un fois cuit, les réserver soit au frais ou bien en couvrant le plat .

 

 

PREPARATION DES ECREVISSES


- Faire chauffer de l’huile dans une casserole

- Ajouter les écrevisses et assaisonner puis laisser cuire à feu doux avec un couvercle

- Les écrevisses sont cuites lorsqu’elles sont toutes d’une couleur rouge

- Les égoutter et en garder 4 belles pour le décor

- Séparer les tête et les queues des écrevisses restantes (garder les têtes pour la sauce)

- Décortiquer ensuite les queues et garder les carapaces pour le jus

- Décortiquer également les 4 écrevisses entières en laissant la tête accrochée à la queue

- Les réserver

 


 PREPARATION DE LA SAUCE

 

-Faire revenir les têtes et les carapaces dans de l’huile chaude

-Ajouter le vert de poireau et l’échalote en mirepoix et laisser mijoter quelques instants

-Puis flamber avec le Cognac et laisser réduire à sec.

-Mettre ensuite la tomate, le concentré, le thym, la feuille de laurier et mouiller avec de l’eau

-Laisser cuire ½ heure en écumant régulièrement

-Ensuite égoutter le tout en appuyant dessus et faire réduire de moitié

-Assaisonner et lier avec un peu de roux pour obtenir la consistance souhaitée

 

 



DRESSAGE ET FINITION


- Réchauffer les fondants si besoin ainsi que les écrevisses et la sauce

- Démouler ensuite les fondants au centre des assiettes

- Napper de sauce et disposer les écrevisses autour

- Mettre à cheval sur les fondants l’écrevisse avec la tête et 1 pluche de cerfeuil

- Servir tiède

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 09:01

INGREDIENTS (Pour 4 personnes)

 

Pour la coque en chocolat blanc :

 

- 200 g de chocolat blanc

 

 

Pour la glace aux biscuits roses de Reims :

 

- 0,250 l de lait entier

- 3 jaunes d'œufs

- 50 g de sucre

- 10 g de trimoline

- 100 g de poudre de biscuits roses

 

 

Pour le sabayon au Marc de Champagne:

 

· 5 jaunes d'œufs

· 100 g de sucre

· 25 g d'alcool

· 50 g d'eau

Pour la compotée de fruits rouges:

 

- ¼ l de vin

- 150 g de sucre

- 3 tranches d'orange

- 5 g de poivre de Séchouan

- 1 bâton de cannelle

- 80 g de framboises

- 80 g de fraises en quartier

- 40 g de myrtilles

- 40 g de mûres

 


 

PREPARATION

Pour la coque en chocolat blanc :
 
- Faire fondre au bain marie le chocolat blanc, l'utiliser froid mais fondu, pour mouler dans des demi-sphères.
- Réserver au frigo 15 mn.
- Démouler délicatement les coquilles.
 
Pour la glace aux biscuits roses de Reims:
 
- Réalisez une crème anglaise à l'aide du lait et de la trimoline mis à chauffer ensemble, les jaunes fouettés avec le sucre.
- Chinoisez l'anglaise, ajoutez la poudre de biscuits dans l'anglaise encore chaude. Réservez au frigo 24heures.
-T urbinez et réservez au congélateur.

Pour le sabayon au Marc de Champagne:
 
- Mélangez les jaunes, le sucre, l'alcool et l'eau.
- Chauffez le tout dans une bassine au bain marie en fouettant.
- Retirez de l'eau et fouettez jusqu'à refroidissement, vous obtiendrez un mélange mousseux et épais.
- Réservez au frais.
 
Pour la compotée de fruits rouges:
 
- Mélangez tous les ingrédients dans une casserole, sauf les fruits rouges.
- Chauffez jusqu'à ébullition.
- Chinoiser sur les fruits rouges puis réservez au frais.

 

 



DRESSAGE ET FINITION
 

- Garnir une demi sphère en chocolat au 2/ 3 de fruits rouges, prendre l'autre moitié que l'on aura percé en son sommet à l'aide d'un emporte-pièce de 2 cm, assemblez les deux parties pour fermer la sphère.
- Dans l'assiette, coller la boule à l'aide d'un peu de chocolat fondu, disposer une quenelle de glace aux biscuits roses, puis versez la sabayon par l'orifice pratiqué.
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Présentation

  • : Le Pot d'Etain Danjoutin
  • : Philippe Zeiger, nouveau propriétaire du Restaurant le Pot d’Etain et sa compagne Florence vous ouvrent les portes de leur restaurant gastronomique à Danjoutin, Territoire de Belfort, à deux pas du célèbre Lion de Bartholdi. Ils vous proposent de découvrir un menu du marché à 30 euros, vin, eau et café compris ainsi que les délices d’une cuisine créative et spontanée, élaborée avec des produits frais, de saison, dans un cadre convivial et chaleureux. Parking privé.
  • Contact

Le Pot d'Etain Danjoutin

  • 4, avenue de la Rébublique
    90400 DANJOUTIN
  • Pour réserver, contactez-nous au
    03 84 28 31 95 ou par MAIL
  • Tous les jours sauf LUNDI, SAMEDI MIDI et DIMANCHE SOIR
  • Le site du restaurant